Nul autre peintre n’a rendu l’éclat du trépas aussi citronné. Observe cet espace blanchi à l’ocre gauche. Il n’y a plus aucune trace de rustre en lui, que le raffinement d’une tendresse clémentine, une peau d’orange avant la nuit. Faut-il avoir été sevré de liesse pour savoir peindre la transfiguration solaire? Je crois que si, né entièrement de la folie d’une mer. Devant la chute de l’astre qui récite qu’il n’y a pas d’expansion sans mort, de mort sans explosion; béant, laisse-le, avec souffle, se livrer aux lumières incertaines. Sun Setting over a Lake
🙌🌇
RépondreEffacerMerci Guillaume. Je suis incapable de mettre en format poème, un blocage à ce sujet. ;)
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