Tes tableaux sont de plus en plus hot. Des objets de méditation, du genre que je préfère, parce que je peux pas comprendre complètement. Comme avec Soulages, ou Rothko.
Rothko et Soulages c'est une recherche exceptionnelle de la lumière. Je suis à méditer «par où la catastrophe arrive, jaillit la lumière». Si on se réfère au travaux de Léon Hatem père plus bas, c'est dans la rencontre des deux forces en opposition que jaillit la conscience. L'Art c'est de la métaphysique ni plus ni moins. Sans accident, la lumière n'arrive pas, ça je sais. Je n'invente rien Deleuze l'avait bien soulevé mais en lisant le travail de l'origine de l'atome. Ça fait sens... enfin pour moi. C'est comme dans la vie et l'humain en somme, c'est le manque qui fait nous rencontrer. Le manque, la déchirure, la brisure c'est autour de cette lumière que se tisse le lien d'où les frictions inévitables. L'acrylique me limite dans l'intensité du pigment mais je n'ai pas les sous, ni l'atelier pour l'huile. Bien dommage. Merci de ton commentaire Carl. J'apprécie.
Ces temps-ci, j'en ai tellement besoin. Dingue. Merci de ton passage. Je suis dans ma bulle et visite peu les amis mais te lire me faire toujours plaisir.
Tes tableaux sont de plus en plus hot.
RépondreEffacerDes objets de méditation, du genre que je préfère, parce que je peux pas comprendre complètement.
Comme avec Soulages, ou Rothko.
Rothko et Soulages c'est une recherche exceptionnelle de la lumière. Je suis à méditer «par où la catastrophe arrive, jaillit la lumière». Si on se réfère au travaux de Léon Hatem père plus bas, c'est dans la rencontre des deux forces en opposition que jaillit la conscience. L'Art c'est de la métaphysique ni plus ni moins. Sans accident, la lumière n'arrive pas, ça je sais. Je n'invente rien Deleuze l'avait bien soulevé mais en lisant le travail de l'origine de l'atome. Ça fait sens... enfin pour moi. C'est comme dans la vie et l'humain en somme, c'est le manque qui fait nous rencontrer. Le manque, la déchirure, la brisure c'est autour de cette lumière que se tisse le lien d'où les frictions inévitables. L'acrylique me limite dans l'intensité du pigment mais je n'ai pas les sous, ni l'atelier pour l'huile. Bien dommage. Merci de ton commentaire Carl. J'apprécie.
EffacerAurore boréale
RépondreEffacerAh! Pas fou ça... :) Merci Keith.
EffacerEnvoûtant comme d'habitude, ça le laisse toujours rêveuse (Chynthia)
RépondreEffacerJe voulais dire "ça me laisse toujours rêveuse" (toujours Chynthia)
EffacerChynthia! Je suis contente que tu aimes malgré que je ne peins ni bouche, ni œil! Heureuse de te lire.
EffacerCes temps-ci, j'en ai tellement besoin. Dingue. Merci de ton passage. Je suis dans ma bulle et visite peu les amis mais te lire me faire toujours plaisir.
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