Les gendarmes couchés, les clôtures pliées sur le poids de la neige poussée par la charrue, les feuilles mortes d'un hiver qui n'en finit plus de s'en aller… que voilà une ruelle typique de Montréal. Et dans deux semaines tout sera complètement différent.
Bois et fer. Mur et filet. Haut coupé; bas, pas mieux. C'est d'où tu viens? La gauche alors sera la droite. Où tu vas? Vers la voie étroite qui mène à l'Inconnu? Ou la fuis-tu? Et si tu étais venue d'en haut, ce sera atterrissage de troisième type. Est-ce ville ou prison? Passage permis ou interdit? «Le poète ne sait jamais où il est ni où il va...» (adapté de Blaise Cendrars)
Ça me rappelle quelques ruelles en Afrique
RépondreEffacerL'Afrique j'aimerais voir un jour.
EffacerLes gendarmes couchés, les clôtures pliées sur le poids de la neige poussée par la charrue, les feuilles mortes d'un hiver qui n'en finit plus de s'en aller… que voilà une ruelle typique de Montréal. Et dans deux semaines tout sera complètement différent.
RépondreEffacerExcellente photo.
Oui, quand le feuillage prendra enfin le dessus sur le béton. Merci.
EffacerBois et fer. Mur et filet. Haut coupé; bas, pas mieux. C'est d'où tu viens? La gauche alors sera la droite. Où tu vas? Vers la voie étroite qui mène à l'Inconnu? Ou la fuis-tu? Et si tu étais venue d'en haut, ce sera atterrissage de troisième type. Est-ce ville ou prison? Passage permis ou interdit? «Le poète ne sait jamais où il est ni où il va...» (adapté de Blaise Cendrars)
RépondreEffacerJe suis bien incapable d'y lire du Blaise mais nul autre que toi. Tu me pardonneras. ;)
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