« Je dis à mon petit-fils “Mets le temps de ton côté”, parce que le temps, on le considère trop souvent comme un plancher qui n’a pas été balayé, alors que c’est pourtant le plancher sur lequel nous sommes, le plancher sur lequel nous pouvons nous déplacer. Et c’est un plancher sur lequel nous avons quelques fois le droit d’être silencieux, sur lequel nous pouvons nous entourer de murs pour n’écouter que ce que peut nous inspirer le bruit de l’intérieur. »
Gilles Vigneault, Extrait de https://www.ledevoir.com/lire/539624/l-inebranlable-foi-en-l-autre-de-gilles-vigneault?fbclid=IwAR0yv2f0-mP14Dvt_G2AR9Oj51NPnbQ5jwYGU9yxFF_eENPi4En-XuThM3g
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