Rechercher sur ce blogue

mercredi 6 mars 2024

Sahel

Du vital, je m'affame, je m'assoiffe, à ne plus pouvoir tenir, jusqu'à l'oasis et quand arrive, à l'intérieur, la superposition des images formant cet étonnement complexe, ce foisonnement pictural et/ou sonore, je plonge. La tête première, dans une optique fertile maintenue ouverte par la contemplation. Cette hamada est cyclique telle une respiration, du vide au plein, de l'abondance à l'aride, du désert à l'éden.

Aucun commentaire:

Publier un commentaire