Il y a quelque chose qui me rappelle ma langue maternelle dans la poésie. Pour être sans malentendu, je parle de la langue des signes, le LSQ. Peut-être que c'est l'éclosion de petits idéogrammes apparaissant sous les bouquets de phrases ou bien cette puissance d'évocation au cœur du concis? Je n'ai aucune certitude quant à la réponse, parfois la clarté ne se voit que dans une sorte d'imprécision. Chose certaine, les mots sont signés.
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