Ah ! Il ne faudrait pas se laisser à pleurer ici, des larmes à percer le brouillard, des larmes à trouer le bitume, à dissuader le plus chagriné des hommes à emprunter cette route, ou bien, le temps serait venu d'interpeler le printemps, pour qu'il débarque avec sa palette à bonheur et qu'il se mette à la distribution, vite fait, dans ce coin. Après, on pourrait discuter de la vie.
Ah ! Il ne faudrait pas se laisser à pleurer ici, des larmes à percer le brouillard, des larmes à trouer le bitume, à dissuader le plus chagriné des hommes à emprunter cette route, ou bien, le temps serait venu d'interpeler le printemps, pour qu'il débarque avec sa palette à bonheur et qu'il se mette à la distribution, vite fait, dans ce coin.
RépondreEffacerAprès, on pourrait discuter de la vie.
Roger
Je dois être déprimée, ce paysage me repose le neurone. Merci de ton passage.
EffacerJ'y vais, j'y vais pas ???
RépondreEffacerPeureux!
EffacerJe connais la cruauté de la sorcière rouge du Québec !!!
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