« La peinture, ce tremblement, cette incertitude de soi, cette obligation de modifier, de transgresser, de subvertir le savoir et la connaissance. Où trouver force, sinon dans l’innocence, dans l’insouciance, dans la spontanéité. Travailler sans vouloir, sans savoir, dans la mécanique des gestes et le dépassement inattendu. Être fragile, poreux, indécis et trouble, n’avoir qu’un regard en semi-éveil où un rêve qui file. Être la main qui agit sans contrôle de volonté ou de désir. »
Claude Viallat
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