« Car le paysage sert en Chine à proposer une ouverture au monde qui ne se défait pas du sensible, mais le rend plus alerte (moins inerte) , évasif-intensif. Or, il «sert» en Europe , de terrain de conquête et d'expansion à la vue d'un individu l'«observant» et le «représentant» objectivement, grâce à l'optique et à la géométrie, puis l'investissant pathétiquement (nostalgiquement) par compensation de sa subjectivité perdue. »
François Jullien, Vivre de paysage ou de L'impensé de la Raison
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