Ici les anciens accueillaient le feu
Ici le feu créait le monde
A midi les pierres s’ouvrent comme des fruits
L’eau ouvre les paupières
La lumière coule sur la peau du jour
Goutte immense où le temps reflète et s’apaise.
Octavio Paz, Extrait de Liberté sur parole
Aucun commentaire:
Publier un commentaire