Hihi... Oui. Je joue avec les pseudonymes. En attendant de trouver celui qui sera ma figure de proue littéraire. Dis-toi que ce n'est pas un changement identitaire énorme ! Mon premier ami d'enfance a récemment annoncé à tout le monde, sur Facebook, qu'il changeait de sexe...
Je ne sais pas pourquoi mais ce tableau me fait penser à des mots comme "résurrection" ou "renaissance". Tu commences par des bleus profonds en bas de la toile, et plus on monte, plus les couleurs deviennent lumineuses. Comme d'habitude, dans tes compositions, on retrouve 2 "secteurs" qui se font face. Sauf qu'ici, la frontière est moins tranchée.
Il n'y a pas de lumière sans ombre. Il n'a pas de déplacement d'énergie sans une contrainte pour la faire ressortir. Dans l'art on revient toujours à la friction, au drame, à la scission... sinon c'est une oeuvre sans vie. Deleuze parlait de catastrophe, je suis bien d'accord. Le peintre est habité par la catastrophe ou dans mon cas par l'accident.
Phoque taupe en calistre!
RépondreEffacerhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Trouble_de_la_vision
EffacerIl y a de bonnes pistes qui peuvent orienter assurément. ;) Bonne journée et au plaisir.
Est-ce que Charles c'est Guillaume? Là, je suis mêlée dans les changements d'identité. ;)
EffacerHihi... Oui. Je joue avec les pseudonymes. En attendant de trouver celui qui sera ma figure de proue littéraire. Dis-toi que ce n'est pas un changement identitaire énorme ! Mon premier ami d'enfance a récemment annoncé à tout le monde, sur Facebook, qu'il changeait de sexe...
EffacerJe dois avouer que si tu m'avais dit que tu changeais ton nom pour Ginette, j'aurais vécu de la stupeur. :) Heureuse de te lire.
EffacerJe ne sais pas pourquoi mais ce tableau me fait penser à des mots comme "résurrection" ou "renaissance". Tu commences par des bleus profonds en bas de la toile, et plus on monte, plus les couleurs deviennent lumineuses.
RépondreEffacerComme d'habitude, dans tes compositions, on retrouve 2 "secteurs" qui se font face. Sauf qu'ici, la frontière est moins tranchée.
Il n'y a pas de lumière sans ombre. Il n'a pas de déplacement d'énergie sans une contrainte pour la faire ressortir. Dans l'art on revient toujours à la friction, au drame, à la scission... sinon c'est une oeuvre sans vie. Deleuze parlait de catastrophe, je suis bien d'accord. Le peintre est habité par la catastrophe ou dans mon cas par l'accident.
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