« Il y a un peu de dérive dans le mouvement de l'Homme quand il te quitte. La vie domestique est volatile. J'y jette des ancres de livres pour rester à la surface jusqu'à ce que j'émerge sur les rivages de ton lit. J'y trouve de tout: du rêve, des échappées de sève, et puis toi, toujours. Même quand tu vaques à tes œuvres, sacrantes ou sacrées. J'y apporte mes abandons. »
Luc Gauvreau
J'aime tes mots qui dérivent sur des vagues de mots
RépondreEffacerLes mots de mon homme qui n'est plus, ainsi il demeure par la parole près de moi. Merci Marie.
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