Les impossibles à trouver, les riens à dire aux confins des riens, les riens à faire aux doutes ombragés, les rien de rien. Maintenant, toujours. Les impossibles à tracer, les contours vides, les chambres vides, les dehors vides aux nuées attendries. Les impossibles à revenir, les irrattrapables, les quasi oubliés, les évanouis et même les gisants, puis les restants. La terre ne se secoue plus. Agacée. La langue ne se secoue plus. Les mots ne se secouent plus. Plus rien. Nada.
A moins que le vide ne soit un plein inversé, un délié, un de ces indicibles inespérés
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