Je choisis le vent pour me rappeler la précarité des choses,l'ocre, le rouge pour éclairer la terre,les oiseaux blancs, je choisis les branches casséespour me rappeler la descenteet l'envol, je choisis le feu qui brûle et transforme,les mots qui pétrissent l'argile, les falaises abruptesde Rilke, les vagues de Virginia Woolf (...)
Hélène Dorion, Extrait de Cœurs, comme livres d'amour
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